Je ne sais pas s’il faut parler d’une exploration. Récemment, j’ai visité la forêt équatoriale près de chez moi dans la ville de Mbandaka. C’est vraiment une chance. Je réponds au nom de Marie-France Ekofo, 16 ans. Je suis élève en troisième année scientifique à l’école Berée et je suis enfant reporter de Mbandaka.
Après la visite, j’ai compris que cet espace vert est un véritable trésor de biodiversité, un havre de paix où la nature s’épanouit en toute quiétude.
Dès mon arrivée, je suis subjuguée par la beauté des arbres majestueux qui s’élèvent autour de moi. J’entends des chants mélodieux d’oiseaux. Je respire une odeur de terre humide. C’est doux. Je me suis aventurée sur les sentiers sinueux dans la forêt sans aucune destination fixée à l’avance.
Au détour d’un virage, je découvre une clairière baignée de lumière, où les rayons du soleil s’infiltrent à travers des frondaisons. Des fleurs sauvages multicolores parsèment le sol et attirent des papillons aux ailes chatoyantes. C’est un spectacle enivrant et envoûtant. Une véritable explosion de couleurs et de parfums dans cet environnement naturel.
Au fil de ma promenade, je croise des écureuils. Ils bondissent de branche en branche. Il y a aussi d’autres espèces qui se cachent sous des feuilles mortes. Un renard, timide, m’observe de loin avant de s’enfuir. Belle rencontre. Chaque instant passé dans cette forêt enchantée était une rencontre fantastique avec la vie sauvage.
En explorant ce précieux écosystème, j’ai ressenti une profonde gratitude envers la nature, une sensation de connexion avec toutes les formes de vie qui peuplent notre planète.
J’ai réalisé à quel point il est important de protéger ces espaces verts, de préserver la biodiversité et de lutter contre la déforestation.
Cette visite m’a profondément marquée et a renforcé ma détermination à sensibiliser les autres sur l’importance de protéger notre environnement. Car chaque forêt, chaque espace vert est un trésor à préserver, un héritage précieux que nous devons chérir pour les générations futures.
