Pour chaque brise d’air pur et fraîche, nous te devons beaucoup.
Reçois nos hommages, mon arbre.
Object de toutes les convoitises,
Trop souvent nous oublions à quel point tu es vitale.
Érosions, ce phénomène s’arrête avec toi.
Garde-nous sous ton ombre, car nous ne pouvons pas vivre sans toi.
Enracine-toi profondément dans le sol et purifie notre air.
Omettre tes bienfaits est une faute.
Nul ne peut se permettre de te négliger,
Sous peine de rendre son environnement invivable.
Non au déboisement
Oui au reboisement !
Seul une approche où l’on plante plus d’arbre que l’on en coupe est viable.
A bien y réfléchir, nous pouvons mettre en place un système qui te protège.
Rassure toi cher arbre, nous y arriverons !
Brûler les arbres, stop !
Replanter, à fond !
Elève toi comme le cèdre du Liban,
Sourde berceuse de la nature.
Ce poème est publié ce jeudi 21 mars, journée internationale des Forêts.