Grâce loganjola est Jeune reporter dans la ville de Beni dans le Nord-Kivu

La nouvelle d’Ebola à Beni dans le Nord-Kivu tombe très mal, pour nous. L’idée d’avoir à nouveau l’épidémie dans nos murs est terrifiante. Il faut faire quelque chose.

 

 

  • Nous avions compris qu’avec une maladie on ne discute pas, on ne néglige pas les agents de santé, mais on se précipite à l’hôpital lorsqu’on se sent mal.
  • Nous avons appris les différentes mesures d’hygiène entre autres : le lavage correct des mains, éviter des câlins, des salutations à la main, le toucher au niveau des orifices, s’abstenir au toucher du corps des défunts, etc. pour faire face à cette dernière.
  • Il est nécessaire de respecter les mesures préventives, mais surtout de se présenter a l’hôpital lorsqu’on se sent malade avant que ce dernier ne se propage dans nos familles.

 

 

Nous, on n’en peut plus d’Ebola

 

La maladie nous réapparait dans notre contrée dans un centre de santé de Buthili. Cette réapparition me donne la chair de poule, j’ai tellement peur d’apprendre cette mauvaise nouvelle, car ça ne nous arrache que nos chers.

Tout le monde s’étonne du nouveau cas d’Ebola et la question majeure qui se pose d’où est venue cette nouvelle version Ebola ? D’où vient finalement cette maladie ?

La fin de l’épidémie a été proclamé au mois de mai dernier

 

L’aide du gouvernement est très importante 

 

Au gouvernement de nous aider en renforçant les kits de lavage des mains dans les différents coins chauds, dans les milieux publics comme les écoles, les églises, les aéroports. Vu son impact sur les enfants, il faut que les parents prennent soin des enfants.

Conforment à l’article 24 à son deuxième alinéa de la convention relative aux droits de l’enfant qui dit que : Les États partis s’efforcent d’assurer la réalisation intégrale du droit susmentionné et particulier, prennent les mesures appropriées pour développer les soins de santé préventifs, les conseils aux parents et l’éducation et les services en matière de planification familiale.