Bienvenue chez Vodacom à Kinshasa. Je suis Daniella Metila, 17 ans, enfant reporter de Kinshasa. Aujourd’hui, le Dg de Vodacom, c’est moi. Je vous raconte ma journée comme Dg. Je vous parle comme Dg pendant quelques temps.
Le vendredi 14 novembre, je suis choisie pour une immersion avec d’autres enfants reporters chez Vodacom. Je suis prévenue que je serai dans la peau du Dg de Vodacom pendant une demi-journée. Je veux le vivre pleinement.
Dg du jour
Malgré la pluie du matin, je sors de la maison pour aller au bureau de l’UNICEF. Je suis tellement excitée que rien ne peut gâcher ma journée. Chez Vodacom, nous sommes accueillis par une belle équipe. On nous parle du programme « Code like a girl », un programme pour initier les filles aux métiers digitaux et au codage. J’aimerais suivre cette formation. Mes amis et moi avons aussi droit à une formation. J’ai hâte de découvrir ce que me réserve cette journée. Pendant notre échange avec l’équipe de Vodacom, monsieur Khalil Al Americani nous rejoint. Il nous parle de son poste de Dg, les défis et les contraintes. Il nous donne aussi quelques conseils pour l’avenir.

Le Dg de Vodacom parle aux enfants (@ponabana)
Après notre échange avec le grand groupe, je repars avec monsieur Khalil, mon homologue Dg pour la journée. Nous visitons les différents départements de l’entreprise. Communication, logistique, ressources humaines, M-pesa, etc. Il y en a tellement. Je pose des questions pour comprendre le fonctionnement interne de l’entreprise, les défis de chaque département et les solutions mises en place pour garantir une connexion stable et un service de qualité aux utilisateurs.
Il faut de l’organisation en entreprise
Après les échanges, je comprends qu’être à la tête d’une grande entreprise comme Vodacom n’est pas évident. « Mais avec une bonne équipe et de la coordination les choses deviennent plus simples », me confie monsieur Khalil, le Dg.
L’expérience est belle. Juste après, je pense qu’il faudrait multiplier de telles initiatives avec plus de jeunes. Vodacom peut impliquer plus de jeunes pour ces activités. La société peut aussi créer un petit espace d’échanges à la fin de chaque activité. On peut partager nos expériences et peut-être même faire des propositions sur ce qu’on a vu ou appris. Mais aussi, d’accompagner les jeunes qui participent à ces immersions pour les encourager à apprendre même après la visite. Il est vrai que nous avons parlé de nos expériences devant quelques CEO lors de la célébration. Je quitte mon rôle de Dg chez Vodacom avec une envie d’apprendre encore.
Daniella, 10 ans, est enfant reporter à Kinshasa.
