En 2011, l’Assemblée générale des Nations unies a déclaré le 11 octobre comme étant la Journée internationale de la fille. L’objectif est de réaffirmer les droits des filles, ainsi que les obstacles particuliers auxquels elles sont confrontées partout dans le monde.
Selon un rapport réalisé en 2018 par des chercheurs de la Banque mondiale, près d’une fille sur cinq ne termine pas le premier cycle de l’enseignement secondaire à travers le monde. Seulement 35% des femmes obtiennent un diplôme supérieur en sciences, en technologie, en ingénierie ou en mathématique.
Plus grave encore, environ 10 millions de filles dans le monde risquent d’être mariées alors qu’elles sont encore enfants. Lorsqu’une fille n’a pas les mêmes chances de se développer, son avenir est bloqué car le monde devient de plus en plus compétitif.
Mon nom est Josiane Mahamba, j’ai 16 ans et je suis enfant reporter de la ville de Bukavu en République Démocratique du Congo. En cette Journée internationale de la fille, je plaide pour l’égalité des chances, l’autonomisations de la jeune fille, le respect de leurs droits et surtout, le droit à l’éducation.
Tout le monde devrait s’investir dans ce combat et protéger les filles de toutes les formes de violence. J’encourage aussi les jeunes filles à se faire entendre pour réclamer leurs droits !
Les filles, nous sommes fortes et nous devons réclamer un avenir plus juste. Chacune d’entre nous peut faire bouger les lignes et faire changer les choses !
Encadreur : Nathalie Mazinge