Jacky Useni est un Enfant Reporter de Kinshasa.

En marge de la célébration de la journée mondiale de l’Enfance, j’ai visité deux entreprises : Vodacom Congo (société de télécommunication) et la Rawbank. Chez Vodacom, j’ai rencontré monsieur Khalil Al Américani, DG de Vodacom et à la Rawbank, monsieur Mustafa Rawji, directeur général de la banque. Je suis Jacky Useni, enfant reporter de Kinshasa.

La rencontre avec ces chefs d’entreprises était inspirante. Ils nous ont prodigué des conseils. Tout ce que j’ai entendu me permet aujourd’hui d’aborder la vie différemment. Ils ont parlé de se cultiver et de croire en nos rêves. Cet échange m’a profondément inspiré. J’ai compris l’importance de toujours apprendre et celle de m’adapter aux évolutions technologiques. C’est très important pour réussir dans un monde en perpétuel changement. Chaque directeur général, à son tour, nous a conseillé de ne pas abandonner et de toujours réessayer.

Les enfants venus pour célébrer la journée mondiale de l’enfance (@ponabana)

Les adultes écoutent les enfants

Le 20 novembre dernier, à l’occasion de la journée mondiale de l’enfance, des enfants et des Ceo étaient réunis dans une salle à Kinshasa pour échanger sur les droits de l’enfant.
Ce moment a été marqué par des échanges inspirants avec des CEO de plusieurs entreprises qui avaient fait le déplacement spécialement pour cette occasion.
Nous leur avons posé des questions. Alors, je vous dis que leurs réponses ont encore une fois été inspirantes. Mais ces réponses étaient aussi pleines de générosité. J’ai aussi été marquée par la disponibilité de ces chefs d’entreprises et par leur volonté de soutenir les enfants. Ils ont montré qu’ils croient en notre potentiel. Ce qui m’a le plus marqué, c’est l’engagement de monsieur Khalil Al Américani, DG de vodacom, pour l’éducation des enfants. En fait, je pense que c’est l’un des points sur lesquels nous devons insister pour avoir une bonne relève en RDC.
La cérémonie du 20 novembre reste une journée inoubliable, à mon avis. Pour moi, cette journée a prouvé que, même jeunes, nous avons des idées à partager. Et que des adultes influents sont prêts à écouter et à nous accompagner dans ce combat. Moi, j’y crois.
Encadreuse : Abigael Mwabe