C’est à Lubumbashi au quartier de bel-air que se passe l’histoire d’un enfant nommé Mechak âgé de 12 ans, qui exerce le métier de chariot-man.
Mechak a 12 ans, il travaille avec son père, en tant que chariot-man, ça fait un an de cela. Mechak c’est vu imposé d’exercer ce métier par son père, il travaille chaque jour, même les vacances, de 6 à 18 heures, et il n’a jamais eu le temps de prendre une pause ou de se divertir.
Mechak me dit: » Chaque matin vers 6h je suis déjà sur le chemin du boulot, cela fait maintenant un an que je travaille, après chaque fin de mois je suis payé mais cet argent ne suffit pas pour subvenir à mes besoins. »
Après l’avoir écouté, j’ai conclu que Mechak se voyait privé de ses droits, en particulier de celui établi dans l’article 31 de la Convention relative aux Droits de l’Enfant qui stipule que «Chaque enfant a le droit à du temps libre (jeux, sport,…) et au repos».
Sur ce je demande, en tant que représetant d’enfants, aux autorités compétentes (chefs de quartier, bourgmestre et autres) de veiller à ce que ce travail ne soit pas effectué pas des enfants, et d’interpeller les parents pour qu’il ne permettent pas que leurs enfants effectuent ce travail, ou tout autre type de travail.
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oui ! les autorités doivent veiller aujourd’hui aux différents droits des enfants qui sont l’avenir de ce pays!
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Bien dis Jonathan