Je m’appelle Kevin Tshituka, enfant reporter de Kisangani. J’ai 17 ans. A l’école, on m’a appris à ne pas jeter les déchets n’importe où. Mais, dans certains quartiers de la ville de Kisangani, il n’y a pas de poubelles publiques.
C’est le cas dans la commune Makiso, vers la résidence Équateur. Dans la commune de la Tshopo, la situation est pire.
Au lycée où j’ai étudié, il y avait plus de dix-huit conteneurs dans la cour de l’école. Chaque salle avait au moins une poubelle. A chaque fois, les autorités de l’école faisaient des tours pour voir si les salles étaient propres. Mais dans certaines rues de la ville de Kisangani, je constate qu’il n’y a presque pas de poubelles publiques. Et quand j’ai des déchets que je ne peux garder longtemps, je suis obligée de les jeter en plein air. Cela pollue l’environnement.
Face au manque de poubelles publiques, je demande aux autorités de la ville, de les installer pour préserver l’environnement.
Encadreur : Alexis Kabwika
Il faudra sensibiliser les jeunes, parce que, on peut avoir quelques poubelles proche, mais les déchets se jettent seulement autres part que dans la poubelle, comme preuve, non seulement l’absence des poubelles mais disons aussi que les caniveaux ne sont pas faits pour les déchets plastiques, vu que l’eau stagne, ça crée aussi les moustiques qui sont agents vecteur de malaria. Grosso modo, mettre chaque chose à sa place serai mieux de la part de tous.