Je suis Dan Lwaya, enfant reporter de Kinshasa, et j’ai 15 ans. Le vendredi 8 novembre, j’ai participé une activité d’immersion chez Airtel. Le but ? c’est de donner aux jeunes que nous sommes une idée de ce qui nous attend dans le monde professionnel. L’autre idée, c’était de nous pousser suffisamment à rêver et faire des choix pour l’avenir. Je crois que moi, j’ai trouvé ce qu’il me fallait.

Avec d’autres enfants reporters et les enfants membres du comité, j’ai visité les locaux d’Airtel. Et j’ai rencontré beaucoup des dirigeants qui m’ont énormément appris sur leur travail et sur leur parcours professionnel. J’ai été fasciné par ce qu’ils faisaient, la manière dont ils s’emploient à nous donner une connexion de qualité. Bien plus, ces entreprises de communication nous permettent de communiquer avec des gens à l’autre bout de la planète. En fait, cela a suscité en moi de l’admiration et une passion pour les affaires et particulièrement pour l’entrepreneuriat.
Le fait de voir une entreprise aussi grande et prospère m’a émerveillé et m’a donné l’envie de me lancer dans le monde des affaires. Je crois que c’est devenu mon rêve et je suis prêt à beaucoup étudier pour y parvenir.
Je me rappelle d’un conseil que nous a donné monsieur Thierry Diasonama, le directeur général. Il nous a demandé de ne pas abandonner nos rêves. Il a aussi parlé de croire en nous.

Les enfants reporters de Kinshasa interviewent le Directeur Général d’Airtel, (@ponabana)

Je crois en moi

Avant cette journée, je ne me suis jamais dit que travailler dans la télécommunication était une bonne chose. En fait, je n’avais pas trop de connaissances sur le sujet. Je me disais que tout était géré par des machines et que l’homme n’avait pas un grand rôle dans ce domaine. Mais après avoir vu toutes ces personnes travailler dur, je me dis juste, waouh.
En fait, j’ai compris qu’on peut se permettre de rêver grand. C’est nous qui choisissons d’y arriver ou pas. Aujourd’hui, je suis persuadé de faire de mes rêves une réalité, car je crois en moi. Et si je travaille dur, personne ne peut m’arrêter.
Encadreur : Abigael Mwabe