Durant le mois de mars, je me suis posé des questions sur la situation de la femme. Je suis Adonis Kandingu, enfant reporter de Lubumbashi, et j’ai 17 ans.
En mars, nous avons célébré le mois dédié aux droits de la femme. En 2025, le thème est : « L’égalité pour un avenir durable ». L’accent est mis sur l’importance de l’autonomie des femmes dans différents aspects de la vie. Ce que je retiens est que, être femme ne devrait pas signifier dépendance. Au contraire, il est essentiel de promouvoir l’émancipation des femmes pour qu’elles puissent exercer leurs droits et contribuer activement à la société.
Selon l’histoire apprise, les femmes ont souvent été limitées à des rôles traditionnels. Avec le temps, certaines femmes se sont distinguées et ont brisé les stéréotypes pour travailler dans divers domaines. En fait, il y avait des domaines réservés aux hommes et d’autres aux femmes. L’engagement de certaines femmes a montré qu’elles peuvent apporter des choses à la société.
Investir dans l’éducation des filles
L’éducation est un facteur clé dans cette émancipation. Accéder à une éducation de qualité permet aux femmes de développer des compétences et de renforcer leur confiance. Investir dans l’éducation des filles, c’est favoriser en leur faveur un meilleur avenir. C’est aussi les préparer à prendre part activement à la vie l’économie et à la politique.
Durant le mois de mars, plusieurs réalisations des femmes ont été célébrées. Engageons-nous à promouvoir leur autonomie. Être femme ne veut pas forcément dire être dépendante. Ensemble, créons un monde où chaque individu a la possibilité de s’épanouir pleinement.
Encadreur : Evariste Mwamba