Christian Maland est un encadreur des Enfants Reporters de la ville de Kipushi, dans le Haut-Katanga.

Le 25 avril est la Journée mondiale du paludisme. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sensibilise à la lutte pour un monde sans paludisme. A Kipushi, le Gouvernement provincial du Haut-Katanga a procédé au lancement officiel de la distribution gratuite de moustiquaires imprégnées.

 

 

Allocutions d’officiels

Le représentant du ministre provincial de la santé publique a expliqué que « Grâce à l’appui du Fonds Mondial et au partenariat avec les Nations Unies, le gouvernement se fixe comme objectif d’atteindre la couverture universelle. C’est-à-dire une moustiquaire imprégnée pour deux personnes. »

Pour le vice-gouverneur du Haut-Katanga, Jean-Claude Kanfwa, « Les moustiquaires constituent un des moyens principaux de se protéger du paludisme et les autres maladies véhiculées par les moustiques. ».


C’est le Programme Alimentaire Mondial qui a assuré la logistique du lancement de la campagne. Son délégué explique que le PAM assure la réception, le stockage et la livraison de près de 7 millions de moustiquaires. Un appui logistique de taille.

 

Le paludisme est une maladie grave

Il est important de rappeler que le paludisme, quoiqu’il nous est commun et quasi-familier, est une infection grave propagée par le moustique. Cette infection peut entraîner la mort si elle n’est pas diagnostiquée et traitée rapidement. Elle est caractérisée par des symptômes divers, comme une température élevée, des frissons, une perte d’appétit, des douleurs abdominales, etc.

 

En finir avec le paludisme

Pour l’OMS, les objectifs sont clairs : réduire l’incidence des cas de paludisme et le taux de mortalité du au paludisme de 90%. De même, éliminer le paludisme dans au moins 35 pays. Le tout, à l’horizon 2030.

 

Notre recommandation

Nous demandons à tous les membres de la communauté de dormir sous la moustiquaire imprégnée a longue durée d’action, car la malaria tue.