Donatien Muela est jeune reporter de la ville de Mbuji-Mayi.

Il n’y a pas mal d’années que moi, personnellement j’ai entendu parler pour la première fois du réchauffement climatique. C’est un enseignant de géographie qui m’en a parlé quand j’étais en 3e des humanités pédagogiques. J’ai pris du temps avant de comprendre le sens, l’importance et l’intérêt de ce sujet.

 

L’enseignant nous disait que suite aux activités incontrôlées qu’exerce l’homme sur son environnement, la couche d’ozone se serait perforée. Cela aurait entraîné le réchauffement climatique. En gros, il y a aussi le passage direct des rayons ultraviolets sur la terre. L’autre conséquence est l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre, avec toutes les conséquences considérables qu’on connaît aujourd’hui.

Mon enseignant de géographie en avait parlé, mais sans mettre l’accent sur les facteurs qui favorisent le réchauffement. Il n’avait pas non plus mis l’accent sur les conséquences. Nous avions commencé à douter des propos de l’enseignant, en faite.

 

 

Doute sur le réchauffement climatique

 

L’une des questions qu’on se posait était de savoir: « comment est-ce possible que le ciel créé par Dieu puisse se dégrader, peu importe l’action que l’homme peut poser dans son environnement ? » Nous n’avions pas cru aux propos du professeur. 

Plus on grandissait, plus on commençait à voir les choses autrement. C’est ainsi que tout récemment, déjà en premier graduat en science biomédicale, l’enseignant d’hygiène et environnement est revenu sur la même notion du réchauffement climatique. Et là, c’était avec des plus amples détails et illustrations.

Alors comme une coïncidence, l’enseignant donnait à notre groupe d’études le sujet du travail pratique intitulé : « Discutez du reboisement : une solution durable dans la lutte contre le réchauffement climatique et le gaz à effet de serre. »

 

À travers des recherches sur Internet, j’ai pu comprendre que le réchauffement climatique est un vrai et sérieux problème. J’ai compris aussi que c’est l’homme qui est le problème et que c’est lui-même encore qui en est la solution.